Y’en a qui se curent les ongles. Ou les dents. Les fonds de narines, même, certains.
D’autres qui font les cent pas en maugréant que c’est pas dieu possible non mais non mais non qu’est-ce qu’elle ou qu’il fout à la fin.
D’autres encore qui feuillettent le journal qui traînait sur le comptoir, et qui se recommandent un verre parce qu’ils ont bu le premier trop vite.
Moi, quand j’ai du temps qui se perd, j’empoigne le premier papelard à ma portée, le cul d’un dessous de chope à bière, une vieille enveloppe, l’envers d’un papier d’emballage. Je me trouve un crayon, y’a toujours un crayon quelque part. Et je m’écris une ch’tite histoire.
Sans oublier de recommander un verre. Ecrire, ça soiffe…
Alors je me suis dit, autant que vous en profitiez, pas vrai ?
Toutes les une ou deux semaines, dans cette rubrique, une nouvelle.
Une longue. Une courte. Ce sera selon.
Cadeau, de toutes façons.
Bonne lecture à tous.
Une réponse à “Courts-lettrages”
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Une bonne année Mister Neal
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