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A L’AVENTURE !

Ecrivain, je voulus nourrir ma plume avec du vif.
Du dur.
Du costaud. Du vrai de vrai. Sans mentir du vraiment.

A l’aventure et hisse haut droit devant !

Je voulus chanter les fuyards de destins gris.
Louer haut ceux que happe l’action, ses risques et ses gnons, ses dangers et ses sangs, ses conquêtes et ses bastons.
Applaudir à pleines pognes ceux qui désertent les chemins battus à l’âge où d’autres chapardent en tremblant dans les boutiques et n’osent aborder la fille d’en face.

Je voulus mes livres peuplés d’hommes et de femmes féroces, gens de flibuste et de violence, rusés bandits, mécréants qui vomissent autant les croyances en des dieux que les règles terrestres, impitoyables gredins aux appétits sans fonds qui refusent toute attache, respectueux seulement de leur liberté.

Oui, je voulus côtoyer ces êtres rares qui ne reconnaissent qu’un seul péché : celui de vivre selon les lois des sociétés.
De faire partie du troupeau des obéissants.
D’égarer une existence unique, irrémédiablement bornée par la mort, dans les médiocres méandres de la respectabilité.

Je voulus, enfin, qu’ils m’apprennent à désirer du rire et de l’or.
A prier pour des plaisirs sans limites et des émotions sans pareilles.
A exiger des actions grandioses, des luttes ingagnables, des combats invincibles, des victoires inutiles.
A appeler de mes voeux un dernier instant glorieux ou au moins fulgurant. Le couteau de l’ultime bagarre. La corde du condamné. Les balles du guet apens…
A souhaiter le privilège de, droit debout, planté devant le peloton, quitter cette terre en rigolant aux éclats :
– Feu ! Visez au cœur et dites à vos proches que celui qu’à l’aube vous assassinâtes avait bien vécu !

Alors dans les traces de « ces hommes fameux » j’ai erré à la surface de la planète, fidèle seulement au destin qui me tirait par le nez, aux grands vents qui me poussaient au cul, de tropiques en villes lointaines, d’océans en jungles, de déserts en bas-fonds, de vallées paumées en monts brumeux, des moiteurs équatoriales aux froids sifflants des banquises, de la masure du fuyard au palais insolent du vainqueur.

Et je les ai connus, eux, menteurs, tricheurs, escrocs, voleurs.
Trafiquants de tout ce qui s’interdit. Revendeurs de ci et de ça. Receleurs de mille cambrioles.
Contrebandiers, passeurs, commerçants de drogues et de pacotilles, de containers égarés et de voitures volées, d’armes, de statues antiques ou bien de diamants.
Bagarreurs à gages, guérilleros de révolution ici, sbires de dictature là. Troufions d’armée perdue dans telle région du sud, généraux autoproclamés plus loin au nord.
Filous de trottoir à l’aube, lieutenants de mafia au crépuscule.
Cet été là nobles chevaliers de justice qui prenaient la tête d’un peuple opprimé, le printemps suivant détrousseurs d’une vieille folle, héritière d’une immensité de pampa.

Bien sûr, certains de leurs actes pourraient forcer l’admiration du bourgeois.
D’autres les feraient vouer aux piloris de sa réprobation.
Peu leur importe.
Ils ne croient pas en la morale, ce tissu de mensonges, de théorèmes sans preuves, de règles absurdes, de principes arbitraires, qui ne sert qu’à imposer aux humbles, aux crédules, aux gentils, la loi des puissants.
Ne fais pas ci, l’enfer t’attend.
Ne fais pas ça ou le remord te mordra.
Foutaises, beuglent-ils !
Si d’aucuns désirent les juger, parfait…
Qu’ils rédigent leur verdict de leur plus belle écriture sur un papier de soie. Il servira à… ce que vous imaginez.

Et si je t’en parle, lecteur, ce n’est point pour implorer ton pardon.
Ils se foutent de la rédemption.
A quoi leur servirait-il de chercher excuse, eux qui les premiers clament qu’ils n’en ont aucune ?

Cizia Zykë était de ceux-là.
Un homme exceptionnel au courage insensé, à l’intelligence délirante, à l’âme éprise de liberté.

Avec Zykë aux Baléares

Avec Zykë aux Baléares

A ses côtés, j’ai arpenté cette terre pendant vingt-cinq ans. Pour rigoler, on a calculé un jour qu’il m’avait emmené faire six fois le tour du monde. De tous les continents, il n’y a guère que l’Antarctique où on n’ait jamais traîné les bottes.

Sous sa houlette aimablement esclavagiste, de l’aube à la nuit, puis le jour d’après et, si ça se trouvait, encore la nuit suivante, j’ai rédigé dix-neuf récits et romans qui furent publiés.
Avec grand succès.
Plus une demi-douzaine d’autres qui ne furent pas édités.
Plus des nouvelles.
Des poèmes à moi seul.
Des scenarii.
Des idées qui n’eurent pas de fin, des scènes sans suite, des fragments d’histoires…

Pendant un quart de siècle, ces papelards épars verdis par l’humidité des jungles, brunis aux soleils des suds, tachés d’alcools, troués de braises, je les ai enfournés dans une valise verte qui ne me quittait pas.
Il m’est arrivé de partir pour l’autre bout de la terre dénué de ronds et de vêtements de rechange, mais jamais sans cette bonne vieille valoche à malices.

A présent que me voilà vieilli avant l’âge, réfugié loin des agitations du monde, dans cette belle forêt de Franche-Comté, elle est toujours avec moi.
Cabossée.
Ecorchée de partout.
Son vert bidasse d’origine délavé.
Et c’est à son fond que je puise les pépites de papier dont je nourris ce blog.
Cette nouvelle aventure.

 

Ma vieille valise cabossée

Ma vieille compagne de voyage

Bonnes lectures à toutes et à tous

 

Certains articles sont publiés par mon webmaster, Philippe Pirat.

 

21 réponses à “Accueil”

  1. Avatar de valcogne

    Je suis en phase avec ce que vous dites. Les inventions successives construisent un escalier, il y a la première marche puis les suivantes et aucune ne contrarie l’autre et, au contraire, permet l’élévation, même si, par hasard, elles peuvent être inégales, ce qui est rare dans ce genre d’ouvrage. Internet ne tue pas l’écrit,et pour s’y exprimer encore faut il un peu maitriser l’écriture, le vocabulaire, la grammaire. La télévision n’a pas tué le cinéma, le livre physique ne sera pas tué par le numérique, le tout, pour notre plus grand bonheur, s’additionne! Le plus dur, et vous êtes bien placé pour en parler, ce n’est pas de trouver le support mais de créer.

  2. Avatar de evy

    Je suis aussi entièrement d’accord avec votre propos. Mais si internet ne tue pas le livre, les livres, eux, ont de moins en moins de points de vente. J’habite dans la deuxième plus grande ville de France. J’ai vu des librairies remplacées par des magasins de vêtements… Où sont les librairies de quartier, dont le propriétaire avisé et amoureux de littérature vous amenait à découvrir un auteur, une œuvre ? Et dans celles qui restent, mis à part les classiques immuables en rayon, les nouveautés ne s’attardent guère sur les présentoirs, à supposer qu’elles y figurent, tant l’offre est pléthorique, et c’est bien dommage, donc… Heureusement qu’il y a internet, oui, qui joue à présent ce rôle de support de diffusion, et de lien direct avec les lecteurs.

  3. Avatar de Thierry Poncet

    Merci pour vos commentaires.
    Comme je l’ai mentionné dans mon édito, Evy, je déplore tout comme vous la disparition des libraires de quartier. Mais je m’insurge quand certains éditeurs versent des larmes de crocodiles sur leur sort…
    La diffusion internet ne risque de faire disparaître les libraires que pour une seule raison : parce qu’ils étaient déjà en grande difficulté.
    Et à cause de qui ? Des grands groupes d’édition uniquement préoccupés d’agrandir leurs marges bénéficiaires, suggère-t-on ça et là ? Et bien « on » a cent, mille fois raison !
    Il est déplorable que la diffusion des livres tombe irrémédiablement dans les mains de grandes structures industrielles, mais ce fait ne couronne pas tant la victoire des industriels que la défaite d’une politique aveugle, rapace et stupide menée par les grandes maisons d’édition françaises depuis les années 50 – et dont, soit dit en passant, les écrivains, avant les libraires, furent les premières victimes.
    Sur ce problème, ainsi que sur d’autres, passionnants, nés de l’irruption dans notre existence de ce que j’appelle « écriture numérique », je vous invite à consulter le blog de THIERRY CROUZET, pionnier français de la chose (excellente plume au demeurant), où se retrouvent pas mal d’auteurs et lecteurs concernés par le phénomène, et qui constitue une mine d’informations et de réflexions.
    A visiter sur http://blog.tcrouzet.com/

  4. Avatar de Eddy
    Eddy

    Salut Thierry ! J’ai pensé à toi aujourd’hui lorsque j’ai entendu que l’ U.E ordonne à la France de taxer les livres numériques à 20% ! Mais à qui profite le crime ???? J’espère que ca ne découragera pas !

    Au faite, la région Rhône-Alpes a mis en place un site qui permet de savoir quel libraire, en Rhône-Alpes seulement, possède le livre que l’ on cherche = chezmonlibraire.fr ( j ai ainsi mit la main sur le dernier Oro and Co de la région et je me le suis même fait livrer 🙂 A bientot

  5. Avatar de Thierry Poncet

    Salut Eddy. Je pense que le but de la manoeuvre est, in fine, de ramener la TVA sur tous les livres, papiers comme numérique, au taux plein. Tu mords l’astuce ? D’abord, on supprime le privilège sur le livre numérique, arguant que ce n’est pas du papier. Puis, on aligne le livre papier sur le numérique en disant qu’il n’y a pas de raison. Il y a des décennies que la grande distribution l’a en travers de la gorge, cette TVA préférentielle.
    Bonne lecture d’ORO & Co.

  6. Avatar de Brice
    Brice

    Papier OK, de chanvre encore mieux, sans chimie ni chlore là on peut parler de papier…qui finira au pilon dans tous les cas…car l Empereur est nu…

  7. Avatar de JJ-toutes-les-memes

    Merci monsieur pour votre temps consacré à ce blog, je vous respecte et vous admire, tout autant que le regretté Cizia. Salutations de Besançon-Montbéliard, au plaisir de vous rencontrer.

  8. Avatar de Lucas
    Lucas

    Pas plus tard qu’avant hier je relisais ces magnifiques pages pleines d’émotions que sont celles de Kampuchea, en me disant qu’elles seraient belles sur papier… Ce matin, en passant sur ton site en quête de nouvelles aventures je vois un titre : Sergio! Chouette me dis-je, un nouveau projet commun ! Grosse désillusion… Mes condoléances M’sieur Poncet.

  9. Avatar de niko
    niko

    j’ai lu ORO et sahara j’ai lu les deux livres sans pouvoir m’arrété c’est juste génial du grand zike
    une aventure de dingue !

  10. Avatar de La famille Gaillard
    La famille Gaillard

    Mon cher Thierry comme nous t’imaginons sous peu contraint avec la viande dans le torchon (comme dirait Yolande des Deschiens), on t’écrit une ch’tite bafouille pour te dire que l’on pense à toi outre Alpes. Nous espérons que les infirmières seront girondes et attentionnées mais que tu n’en abuseras point cependant…

    Comme tu le sais, au risque de te faire grincer des dents je t’ai posté récemment quelques dialogues pour certaines scènes de ton film que je voulais rendre cocasses mais je me suis cependant gardé de dialoguer ton cher ami protagoniste, soucieux comme je te sais de respecter son parler vrai, franc et direct, donc pas question pour moi d’intervenir. En revanche le sémillant Msieu Poncet m’a inspiré et alors je me suis amusé à lui écrire quelques répliques, ce qui n’est ma foi point exercice aisé mais O combien divertissant.

    Alors depuis que – grâce à toi – je suis dialoguiste (sic!) je me suis intéressé au travail de mes confrères, et qui dit dialogue dit Audiard, qui dit Audiard dit Gabin, qui dit Gabin/Audiard dit également Maigret, Simenon, bref toute une atmosphère des années 50 qui fleure bon l’Amsterdamer, les costumes 3 pièces de la Belle Jardinière, les feutres mous et les 403. C’est donc avec délice que je me replonge dans cette période en lisant Simenon et en téléchargeant – de manière complètement illégale tu t’en doutes – les petits chefs d’oeuvre de film que furent les premières collaborations Audiard / Gabin et que je te conseille vivement – tiens un exemple au hasard « maigret tend un piège » 1958 où Gabin démontre dans la scène finale d’interrogatoire son extraordinaire talent face à une certaine Girardot débutante. J’espère que tu auras près de toi un ami qui saisira ce conseil au vol pour te copier sur une petite clef USB – de celles qui s’enfilent derrière la télé – quelques-uns de ces “nanards” qui en réalité n’en sont pas, et que donc tu pourras mettre à profit ta convalescence pour réviser ces classiques.

    Voilà la famille se joint à moi pour te saluer sur ces bons conseils, tiens-nous au courant – et on espère donc à très bientôt !

    Oliv’, blog & Co

  11. Avatar de stephane linale

    Félicitation!! vieux quinqua que je suis, je suis tombé la semaine dernière sur mes lectures de jeunesses et quel plaisir de retrouver ces deux romans autobiographique que sont « SAHARA  » et « ORO ». a l’époque je doutais, comme certainement beaucoup d’incrédules stupides, de la véracité des propos, qu’importe j’étais transporté, mon imagination accompagné l’écrivain fou. Aujourd’hui avec cette facilité d’enquêter, tout en relisant ces bibles, j’ai fait la connaissance de Cizia, le même jour qu’il est enfin naît pour moi j’ai appris sa mort, quel sentiment bizarre un inconnu si proche que je n’osais voir vivre est parti pour le paradis des indiens. J’ai ainsi fait fait ta connaissance il y a deux jours, j’ai appris ton existence, et voilà que mon imagination est à nouveau alimenté par tes écris, je vais lire et relire religieusement toute cette littérature.
    Je dois te dire que si j’étais président de la république c’est pour vous remettre la légion d’honneur de la liberté, si j’étais roi c’est pour vous sacrer empereur des fous et des honnêtes, si j’étais vous j’enverrais chier ces inconnus qui par leur stupidité tentent de vous classer comme pour se rassurer de pouvoir avoir une petite prise sur vous, comme s’il avait été possible d’arrêter le vent de Tchernobyl. Mais comme Tchernobyl à pollué tout sur son passage pour des décennies, vous avez embelli le monde, saupoudré de la joie de l’espoir et une valeur UNIQUE: la liberté pour des générations et des générations.
    Je vais surement dire la plus grosse connerie de ces quelques lignes: A partir de ce jour tu m’as comme amis.
    Merci pour tout

  12. Avatar de Fred Pharma 976
    Fred Pharma 976

    Bonjour Thierry
    Je viens regarder « A propos de Cizia Zykë » https://www.youtube.com/watch?v=rQPJtJtgLx4
    Cela date de 2017. Cela me replonge dans ton bouquin « Zykë l’aventure »
    Trop trop bien.
    Viens nous voir à Mayotte. Il y a mille histoires à raconter.

  13. Avatar de ASTOUATI
    ASTOUATI

    j’ai terminer la biographie de monsieur zyke il y de cela un ans, et je viens de découvrir que la suite de ces chose et bien plus encore sont la, je ne sais pas comment j’ai fais pour ne pas l’avoir découvert plus tôt .
    un vent d’aventure souffle de nouveau sur moi, et la j’ai soif, j’ai faim, je veux partir, foutre le camp, tout laisser tomber et partir sur les route de ce monde fou, et merci l’Algérie de m’en empêcher, mais je me battrais jusqu’au bout sois je part sois je part, et vous serrai, monsieur poncet, vous et monsieur zyke, mes compagnons de voyage, l’aventure, l’extrême, les émotions fortes, la fortune, la vie, je le ferais en grande parti pour moi bien sur, mais en ayant les écris de monsieur zyké dans le cœur, et dans mon chemin, je serrais extrêmement honorais de peu-être vous rencontrer monsieur poncet

  14. Avatar de ASTOUATI
    ASTOUATI

    je suis heureux de connaitre la suite
    monsieur poncet j’espère que vous vous portez a merveille, merci de nous distiller les aventure que vous vivez que vous viviez et merci de nous faire vivre votre aventure littéraire, je serai, si vous l’accepter, honoré d’un jours vous rencontrer.
    j’ai 27 ans, et j’ai soif, j’ai faim d’aventure, j’aimerai me téléporter quelque part, au hasard, j’aimerai prendre la route, partir a l’autre bout du monde, et ne jamais revenir, mais pour l’instant je suis coincé dans un pays de médiocre, de fou, et d’homme de demis mesure, j’ai envie, j’ai besoin de rencontrer de nouvelle tète, j’ai besoin de comprendre, de voir, d’explorer, avant je n’étais pas comme ca, j’étais une merde, mais depuis que j’ai commencer a lire cizia et poncet, je comprend mieux la phrase qui dit, que oro c’est du dopage en intraveineuse.
    j’aimerais savoir ce qu’il en est devenue de l’association « Liberté, Zykë & Co » j’aimerais devenir bénévole

  15. Avatar de Mak
    Mak

    10 ans déjà, il aurait eu 72 ans…

    1. Avatar de Meziana Thai
      Meziana Thai

      Bonjour, j’y avais pensé aussi. J’au relu des passages d’Oro pour l’accasion.

  16. Avatar de Nikos
    Nikos

    Dès mon plus jeune âge, vers 14/15 ans, j’ai découvert cizia avec Oro, Sahara puis Parodie.
    J’ai reçu cette claque en pleine tronche, ce vide existanciel qui vous partage entre votre vie monotone et lobotomisé et ce désir ardent d’évasion.
    J’ai retrouvé dernièrement à l’âge de 41 ans une rédaction de 4eme ou j’ai pu faire l’apologie de ce Grand Monsieur. J’ai pu relire, écrits et gravés en mine rouge les commentaires de mon professeur de français qui s’en nulle doute s’est arraché les cheveux à mes lectures.
    Grand moment euphorisant après plus de 25 ans.
    Le cœur à ses raisons du désirs brûlants de sortir des sentiers érigés par nos cultures, l’éducation…
    Cizia m’a accompagné à veiller sur l’empreinte profonde qui m’anime aujourd’hui…
    Aimer ceux qui vous sont chers sans pour autant rester lobotomisé par le pouvoir des décideurs.
    Je n’ai pas eu cet force ni les corones de me détacher de mon identité profonde mais je sais aujourd’hui l’être profond que je suis avec ses valeurs.

  17. Avatar de Olivier Boiteau
    Olivier Boiteau

    Hello mister Thierry, je dévore les ZYKË au fur et à mesure que je les achète, difficiles à trouver, mais où puis-je récupérer les 3 Haig ? En livre bien sûr. En tout cas, je me suis éclaté à lire ZYKË l’aventure, et aimerait manger du Thierry Poncet. Merci pour ton aide , je croise les doigts de pieds. A plus . Olivier

    1. Avatar de Bill Barjack
      Bill Barjack

      Bonjour
      Je ne suis pas Mr Poncet.
      Vous pouvez commander la série Haig au éditions taurnada sur le net

  18. Avatar de Georges Sébastien
    Georges Sébastien

    Bonjour mr poncet par qui commencer alors que vous êtes un maître en la matière pour raconter se vécu que j’aurais aimer partager vous connaître vous msieur poncet et j’ai moi même étant gamin et ensuite adulte j’ai beaucoup galère dans la rue sans parent donc j’ai aussi un peu découverte se qu’était le vis de la rue et chez vous vos mot ne trahissent pas on le s’en on le vie presque mai sachant mr thierry poncet que vous êtes une personne qui m’aura beaucoup servis pour garde le même anarchisme que vous et celui qu’il y a en moi encore merci et j’espère un jour réussir à vous rencontrer ou simplement échanger quelque mot Sébastien georges de laisne énorme merci

  19. Avatar de Frédéric BAEYENS
    Frédéric BAEYENS

    Zikë… J’ai lu cette prose qui sentait bon la liberté et la virilité de l’époque. J’apprends aujourd’hui qu’un certain Thierry Poncet tenait la plume de Cizia et je lui dis bravo car on s’est bien marré et on a bien rêvé. On a vécu par procuration. C’est ce que donne en général la littérature.


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