Puisque vous trouvez plus vite que vos ombres, deux énigmettes de rabiot.
La première vous est proposée par Dominique Lechauve :
La nuit je mens, je prends des trains à travers la plaine ,a nuit je mens, je m’en lave les mains, j’ai dans les bottes des montagnes de questions, où subsiste encore ton écho
J’ai fait la saison dans cette boite crânienne, tes pensées, je les faisais miennes, t’accaparer, seulement t’accaparer, d’estrade en estrade, j’ai fait danser tant de malentendus, des kilomètres de vie en rose, un jour au cirque, un autre à chercher à te plaire, dresseur de loulous, dynamiteur d’aqueducs
La nuit je mens, je prends des trains à travers la plaine, la nuit je mens, effrontément, j’ai dans les bottes des montagnes de questions, où subsiste encore ton écho…
La seconde est de Stef, c.a.d Stéphane, un copain que Zykë appréciait beaucoup (attention, mine de rien, c’est un indice !).
« Nous en sommes au onzième jour de travail. La galerie principale est entièrement achevée et fignolée dans les moindres détails. Au sol, le béton est maintenant recouvert d’une épaisse couche de terre que nous avons mouillée et tassée. A l’extrémité gauche de la grande galerie se trouve le tunnel a moitié effondré. Je m’accroupis. A la lueur de la lampe a pétrole, le travail de Jacques est superbe ! C’est du trompe-l’oeil en 3D, les planches de soutènement sont affaissées, cassées, pliées. Le décor bave de vérité. Si nous étions réellement a 20 mètres sous la jungle, je déguerpirais immédiatement.
-Irréprochable, Jacques ! Nous y sommes ! Tu vas faire répertorier ton pavillon au patrimoine mondial de l’Unesco !
Nous poursuivons notre visite en courbant l’échine pour le passage qui mène au puits.
Dans ce lieu magique, toutes les poutres sont en place. Manque la pose du grillage et de la toile enduite de plâtre, suivie de la projection de terre. Je saisis l’échelle. Jacques a incurve et poli les barreaux pour créer l’illusion d’une usure naturelle comme si des centaines de soldats nippons étaient passes par la pour accéder aux galeries inférieures. »
Pour Dominique, n’est-ce pas séquelles ordinaires d’Eric Paradisis ( on a les meme bouquins sur l’étagère ou quoi ?)
Le premier est facile, c’est Bashung pour « La nuit, je mens ». Après, je cale.
Facile, mais Bashung reste tellement présent
Alors puisqu’on donne dans le culturel, j’ai moi aussi une petite devinette qui est aussi une suggestion à Thierry pour l’animation musicale de demain après la cérémonie…
Amis poètes bonsoir :
Allez viens boire un p’tit coup à la maison
Y a du blanc, y a du rouge du saucisson
Et Gillou avec son p’tit accordéon
Vive les bouteilles et les copains et les chansons……….!
Allez : pour Dominique le nostalgique… !
J’fais mon footing au milieu des algues et des coraux
Et j’fais mes pompes sur les restes d’un vieux cargo
J’dis bonjour… Faut bien que je me mouille
C’est ma dernière surprise partie, je m’écrase le nez au hublot
J’ai mon contrat de confiance l’encéphalo qui faut
J’ai du bol, j’en vois un qui rigol’nt
Gaby, oh Gaby, tu devrais pas m’laisser la nuit
J’peux pas dormir, j’fais qu’des conn’ries
Gaby, oh Gaby, tu veux qu’j’te chante la mer
Le long, le long, long des golfes
Pas très clairs
Pardon Thierry, je sens bien qu’on s’égare dangereusement sur ton blog, mais ça sert à quoi le cochonnet si t’as pas les boules ? La question reste posée ! ( par Bashung )
Je vois qu’on sèche sur la colle à Stef. Bon, ok, indice : ce gars a fait pendant des années le bonheur des insomniaques qui laissaient allumée la télé de nuit.
Allez, si Thierry m’autorise l’indice du jour, je dirais que » Ce n’est pas un mystère musicale et son édition est montagnarde »
Autorisé !
en réponse mixte à Olive et à Stef
pour le quizz, je n’ai pas le cochonnet mais j’ai les boules car je ne trouve rien malgré les indices. pourtant des bouquins sur des tunnels artificiels, voir concernant les occupations japonaises, j’ai des idées mais rien de précis. je crois que nous aurons besoin de plus d’indices , enfin moi j’en aurai besoin
Pas d’idée non plus pour le quizz-bouquin, alors je persiste dans le quizz chanson…
Attention il y a un piège car 2 noms sont possible, celui qui écrit et celui qui chante, ce dernier était très lié avec Bashung ( qui a dit par la boisson ?! )
***
Que j’aime voir chère indolente
De ton corps si beau
Comme une étoffe vacillante
Miroiter la peau
Sur ta chevelure profonde
Aux âcres parfums
Mer odorante et vagabonde
Aux flots bleus et bruns
Comme un navire qui s’éveille
Au vent du matin
Mon âme rêveuse appareille
Pour un ciel lointain
Tes yeux où rien ne se révèle
De doux ni d’amer
Sont deux bijoux froids où se mêlent
L’or avec le fer
À te voir marcher en cadence
Belle d’abandon
On dirait un serpent qui danse
Au bout d’un bâton
Sous le fardeau de ta paresse
Ta tête d’enfant
Se balance avec la mollesse
D’un jeune éléphant
Et ton corps se penche et s’allonge
Comme un fin vaisseau
Qui roule bord sur bord et plonge
Ses vergues dans l’eau
Comme un flot grossi par la fonte
Des glaciers grondants
Quand l’eau de ta bouche remonte
Au bord de tes dents
Je crois boire un vin de Bohême
Amer et vainqueur
Un ciel liquide qui parsème
D’étoiles mon cœur !
j’aime bien la version chanté du grand Serge
« Belle d’abandon ».
Comme quoi ça paraît simple, hein ?
je n’aurai toujours de réponse pour Stef, mais Oliv je pense que la suite de mon message te plaira:
Ô muse de mon coeur, amante des palais,
Auras-tu, quand Janvier lâchera ses Borées,
Durant les noirs ennuis des neigeuses soirées,
Un tison pour chauffer tes deux pieds violets?
Ranimeras-tu donc tes épaules marbrées
Aux nocturnes rayons qui percent les volets?
Sentant ta bourse à sec autant que ton palais
Récolteras-tu l’or des voûtes azurées?
II te faut, pour gagner ton pain de chaque soir,
Comme un enfant de choeur, jouer de l’encensoir,
Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère,
Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas
Et ton rire trempé de pleurs qu’on ne voit pas,
Pour faire épanouir la rate du vulgaire.
Nous nous éloignons du message original, mais notre jeune marié ne nous en voudras pas ce délire culturel.
« Et ton rire trempé de pleurs qu’on ne voit pas ». Ah, Oncle Charlie, comme vous fûtes bon!
Plus de 100 ans séparent en effet la création de cette poésie du grand Charles, et sa mise en musique par le non moins grand Serge.
Quand on pense que Baudelaire fùt jugé pour outrage à la morale publique et aux bonnes moeurs pour ces textes… attention Thierry à la censure !
attention les mentalités actuelles des sectaires de tous poils relancent les débats sur la liberté d’expression et les « bonnes mœurs » revenons nous à l’époque de l’inquisition ou de Baudelaire ?? si nous ne prenons pas garde, le droit à l’expression sera réduit, et plus de Baudelaire sur le site de notre jeune marié
Voilà une des 5 poésies des Fleurs du Mal qui envoya Baudelaire devant les juges… et qui lui valu par la suite d’etre considèré un des poètes maudits.
A celle qui est trop gaie
Ta tête, ton geste, ton air
Sont beaux comme un beau paysage ;
Le rire joue en ton visage
Comme un vent frais dans un ciel clair.
Le passant chagrin que tu frôles
Est ébloui par la santé
Qui jaillit comme une clarté
De tes bras et de tes épaules.
Les retentissantes couleurs
Dont tu parsèmes tes toilettes
Jettent dans l’esprit des poètes
L’image d’un ballet de fleurs.
Ces robes folles sont l’emblème
De ton esprit bariolé ;
Folle dont je suis affolé,
Je te hais autant que je t’aime !
Quelquefois dans un beau jardin
Où je traînais mon atonie,
J’ai senti, comme une ironie,
Le soleil déchirer mon sein ;
Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j’ai puni sur une fleur
L’insolence de la Nature.
Ainsi je voudrais, une nuit,
Quand l’heure des voluptés sonne,
Vers les trésors de ta personne,
Comme un lâche, ramper sans bruit,
Pour châtier ta chair joyeuse,
Pour meurtrir ton sein pardonné,
Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,
Et, vertigineuse douceur !
A travers ces lèvres nouvelles,
Plus éclatantes et plus belles,
T’infuser mon venin, ma soeur !
Dans « Paris » de Cédric Klapisch, Fabrice Luchini, professeur d’histoire, texte les trois dernières strophes à Mélanie Laurent, étudiante dont il est tombé amoureux. Et la Laurent lui répond à peu près : « T’es malade ou quoi ? ».
Oui ça montre bien la force des mots qu’emploie Baudelaire…
Quand tu penses qu’il est mort à seulement 46 ans et qu’il est considèré le Père des poètes…
J’ai lu quelque part que pour montrer son rejet de son procès pour outrage – voir plus haut – il s’est présenté le crâne rasé devant ses juges… un sacré rebel Charlie ! ( sans ironie aucune )
Bien… Excuses, Stef, mais je crois qu’y faut aider les copains. Parmi les synonymes à « pirate », il y a « Frère de la côte », « Flibustier », « Gentilhomme de f…. » Ouh là, j’en ai déjà trop dit !
CZ? Argh si on a raté cela!!! Lequel? Enfers? (Aie je finis Dust, du coup pas encore lu le 4ème TC)
Je me remets dans les livres ce soir!
J’ai quand même un doute avant de valider mais bon, faut mieux dire une connerie que rien dire!
planter, j’avoue. de plus certains termes me font douter. En effet le terme 3 D en dehors d’un livre d’anticipation post 1930 ou plus sur un livre après 1990, ce terme n’est que rarement connu.
Sinon je me dirige vers la Baie d’Along dans mes recherches
J’y vais aussi de mon dernier indice : Malgré son nom, il ne pratique ni le kung-fu, ni le karaté; trop affairé derrière sa camera.
Apres ne me restera plus qu’a me résigner a balancer l’morceau…
Ah ouais, après ça, vieux, je vois mal qu’est-ce qu’on pourrait rajouter encore… « Gentilhomme de fort… » je vous dis !
Franchement soit je n’ai jamais lu, soit Alzheimer me guette.
maintenant nous sommes dans le dur. Il s’agirait bien de CZ. le Gentilhomme de fortune. Mais j’ai fait le tour rapidement hormis dans ma bibliothèque, je penche pour un Tuan Charlie, je n’ai plus qu’a me remettre à la lecture
Non. Fausse piste. Ce n’est pas du Zykë. « Du trompe-l’oeil en 3D » ? Non. Je n’aurais jamais écrit ça.
Alors…
Le gars qui a écrit ces lignes n’est pas un écrivain, mais un cinéaste. Je dirais même plus : un des grands documentaristes de ce pays.
« Gentilhomme de Fortune ». Réalisateur…
Allez, quoi, un petit effort, les gars !
Bingo
merci les indices, et merci internet
franchement, je suis joueur et je n’aimes pas rester sur une énigme insoluble.
J’ai rechercher dans ma mémoire de lecture, et le grand vide.
C’est avec « Gentilhomme de Fortune » que le déclic est venu. J’ai réécouter le morceau de Lavilliers sur you tube et je suis tombé sur CZ dans une réalisation d’un inconnu pour moi..Du coup recherche complémentaire et découverte d’une belle cave en banlieue….
Fais chier quand même , il m’aura bien fait bouger les neurones le copains Stef. Merci à lui et merci à toi Thierry sinon, j’étais encore à gamberger
J’ai percuté aussi ce matin. Il fait des arts « martial »!
Bien vu Stef
Monfreid, P.E. Victor, Cousteau, Piccard, Caillé, les mecs de la Croisière Jaune… Dominique Martial est un type de cette trempe, né un peu trop tard pour prendre la place qui lui revenait dans la grande lignée des explorateurs européens. Il a commencé sa vie de cinéaste en réalisant des films d’alpinisme, accroché aux flancs de l’Everest par un mince filin, caméra en main. Vous avez le reste de sa filmographie sur le net. Il s’est joint plusieurs fois à l’équipe, un homme dont la simplicité de manière, le calme, ne laissait rien deviner de son grand courage. L’un de ses rêves était de tourner Oro. Zykë a (trop) longtemps hésité à lui en confier les droits. Dommage, peut-être bien…
Son bouquin Les Papillons D’Or est disponible en Presse Pocket.
Ha ben voila, l’enigme est tombée ! Une bonne lecture pour ceux qui ne connaissent pas 😉
Merci a tous d’avoir participé !
Du coup, petite question:
Dominique et Cizia se sont ils revus régulièrement après le tournage en Australie?
Et étais tu en Australie pendant le tournage?
Dominique doit avoir des centaines d’heure de vidéos. es tu toujours en contact avec lui?
N’aurait il pas quelques images non diffusés à nous faire partager sur ton blog?
Merci à toi, Stef, pour ce mystère qui a tenu les copains en haleine un nombre respectable de jours.
Pour toi, Herry : non, je n’étais pas en Australie pour le tournage de Gentilhomme De Fortune pour des raisons que j’expose (encore!!!) dans Zykë L’Aventure. Oui, Dominique Martial et Zykë sont restés copains. On s’est vus à maintes reprises. Beaucoup de photos de Zykë dans le Triangle d’Or sont de lui. Il est également venu à Menorca, car nous pensions à lui pour réaliser Buffet Campagnard, ce qui ne s’est pas fait. Et enfin, non, je n’ai pas de rapports personnels avec lui. Il faut comprendre qu’à l’époque, un nombre infime de personnes étaient conscients de mon importance dans l’aventure éditoriale de Zykë. Loin de me considérer comme la cheville ouvrière de cette épopée cinglée, Dominique me prenait, comme beaucoup d’autres, pour une sorte d’allumé parasite vivant aux crochets de Zykë.
C’est marrant, d’ailleurs, quand j’y pense : parmi les personnes étrangères au premier cercle, il n’ y a finalement que le sieur Adrian, le chauffeur du Paris-Dakar qui, ayant assisté par hasard à une séance de travail, a compris ma vraie place dans l’organigramme. Ce que ne l’a pas incliné à m’envoyer le moindre message de sympathie lors du décès de mon pote, mais passons…
Quant à Dominique Martial, si jamais il lit ces lignes, qu’il sache que je le salue fraternellement et que, le sachant grand amateur de bon vin, je vais derechef me servir une coupe de blanc d’Arbois que je viderai à sa santé.
J adore la description de l aborigène dans le reportage : » personnage que l on aurait pas osé inventer » qu est ce que j’ai ri « . C était un beau voyage j en suis persuadé !
Salut Thierry,
Merci pour ta réponse bien détaillée. On attendra patiemment la sortie de « Zyké L’aventure » pour encore plus de détails.
Je suis quand même surpris que des personnes (comme Dominique Martial ou autres qui vous ont suivi dans le temps) ne fussent pas au courant de votre collaboration (Toi et Cizia) dans cette aventure éditoriale (pendant le reportage en Australie, il lui pose beaucoup de questions sur la manière dont il écrit, comment? avec qui? Pourquoi?…).
J’en profite aussi pour avoir une pensée pour Natalia Molchanova, décédée le 05 Août aux Baléares:
Une femme, une vraie qui vivait de sa passion. Liberté!!!
« Molchanova est l’apnéiste la plus décorée de la planète, avec à son tableau de chasse 41 records mondiaux et 23 titres de championne du monde. Natalia Molchanova peut tenir jusqu’à neuf minutes en apnée et plonger jusqu’à une profondeur de 101 mètres, munie de palmes »
Allez j’en profite, soyons fous, un petit coup de coeur d’un Artiste vraiment déjanté: (Redouanne Harjane)
https://www.youtube.com/watch?v=SjBLjO659cg
Merci pour ton envoi, Herry. Il est vraiment barge. Très sympathique.
Pour le reste… Il faut comprendre une chose, Herry : le succès des bouquins de Zykë a été vécu, par une aberration que je ne m’explique toujours pas, comme une insulte par le petit monde de l’édition parisienne. Qu’un être en qui ils ne voulaient voir qu’une grande brute et qu’il savaient capable de leur arracher une oreille pût être un authentique écrivain les dépassait absolument. Le moindre écrit médiocre signé Zykë aurait immédiatement mis au pilori. Quant à moi, qui suis un écrivain-né, avec une tête d’écrivain, des manières d’écrivain… Si mon rôle avait été connu, que n’aurait-on dit à Saint-Germain-Des Prés ! « Le nègre de Zykë » ! « Zykë exploite un jeune auteur. »! etc… Aussi, pour éviter que ne soit entachée cette splendide aventure, me suis-je fait bien discret. Ce qui m’arrangeait bien, d’ailleurs. Ce n’est que vers 2010, quand tout semblait plié, que j’ai montré à Zykë les quarante premières pages de Zykë L’Aventure et qu’il m’a dit : « Fonce, hermano ! Cette place est la tienne ». Hélas, il est mort avant d’avoir pu découvrir ce blog qui, je le sais, lui aurait plu.
Salut Thierry,
Oui bien barge le Redouanne. Ça nous change un peu des gars à la mode en ce moment…!
Je trouve que cela collait avec les délires de CZ ( « Liberté, Zykë & Co »)
Tu nous donnes des éléments vraiment important pour que l’on comprenne votre aventure éditoriale ( je suis sur que Henri Charrière ne pensait pas avoir autant de notoriété en écrivant ses 13 cahiers à Caracas!encore plus à l’époque!).
Mais ce que « cet pseudo intellect parisien » ne comprendra jamais, c’est que le succès d’un bouquin (tel qu’il soit) ne vient pas de leur « analyse, commentaires….. » mais du plaisir que chacun d’entre nous a pris en lisant un livre! (et on en a vraiment pris avec vous)
Je pense qu’au delà du plaisir que tu prends à nous faire partager tous ces moments, y en a un qui doit être bien fier la haut! Un peu (voir énormément je l’espère) de reconnaissance(comme il a voulu te la donner avec Pigalle Blues)
Je suis sur que tous les participants à ce blog seront les premiers promoteurs de ton futur livre « Zyké L’aventure » .
J’espère qu’il s’écoulera comme des « petits pains » et que tu nous inviteras à une bonne fiesta pour célébrer l’événement!
Viva la Révolucion
Alors à tous les lecteurs,
Prenez votre carnet d’adresse (email, mail, Réseaux Sociaux……) et dites leur que s’ils ont un livre à acheter cette année, ce sera celui de Mr Thierry Poncet!
Je pense que c’est un juste retour de ce qu’il nous a donnée depuis tant de temps!
pas de souci en ce qui me concerne, je suis partant comme pour l’Ogresse, mon chèque est déjà prêt.
Au boulot Thierry, nous ne sommes que lecteur donc impatient. Mais bon, je suis généreux en temps je vais vous quitter prochainement et je reviens dans 3 semaines environ après une excursion antillaise, donc Thierry tu as du temps devant toi pour la finalisation